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MA PROPOSITION A BATI ACTU :

Pour répondre à la majeure partie des attentes liées à la rénovation énergétique, au confort et à l’enrichissement du patrimoine des familles propriétaires de maisons, après 54 ans de carrière en responsabilité globale avec une entreprise de 150 personnes qui a intégré tous les métiers et tous les services, je propose une nouvelle organisation entre professionnels sur le site www.chamoispartenaires.com en cours d’élaboration.
Cette organisation souhaite aussi répondre à de nombreux problèmes rencontrés par l’ensemble des acteurs participant à l’acte de construire dans un contexte où l’égalité en droit n’existe plus.

Il conviendrait comme dans les années 65 et 90, afin de ne pas ajouter des textes de droit sur des textes de droit mais de reprendre les mêmes méthodes que le contrat de construction CCMI en créant un contrat unique qui lie le constructeur pour ce qui concerne la maison, le géomètre pour les ouvrages publics et communs, l’architecte pour la qualité architecturale de l’ouvrage et sa cohérence avec l’environnement immédiat et le notaire pour garantir la qualité juridique du dossier destiné à un propriétaire de maison qui veut moderniser, agrandir ou reconstruire une ou plusieurs maisons sur son propre terrain en toute sécurité. Il pourra alors bénéficier personnellement de la plus value générée par cet investissement et en consacrer une part à la rénovation énergétique.

Vos commentaires nous seront utiles pour améliorer notre site et pour nous aider à faire la synthèse réductrice générale de tous les textes d’ordre public qui concernent nos professions « règlementées» de façon non homogène avec des cadres complexifiés et des « frontières » qui se sont élargies et superposées avec le temps. Nous avons besoin de clarté et d’ordre pour exercer nos métiers sociétaux.

Bien à vous,

Didier DEMERCASTEL

. A PROPOS DES SIMPLIFICATIONS ADMINISTRATIVES

SIMPLIFICATION ADMINISTRATIVE
Je constate que les textes de loi sont de plus en plus exploités et interprétés par les donneurs d’ordre ou les sociétés de contrôle aux dépens de l’intérêt des sociétés de production.

Dans la plupart des cas il s’agit de pièces administratives descriptives ou économiques dont la rédaction est poussée dans les détails les plus extrêmes.

L’impression qui s’en dégage est que les services et les catégories professionnelles affectés à ces missions cherchent prioritairement à se protéger en cas de recours mais aussi et surtout à conserver une activité sociale plutôt qu’une utilité économique et productive.

Cette tendance est d’autant plus grave que dans notre pays les services représentent 80% de la société active.

A une époque où il faut impérativement relancer la production et la compétitivité, une inversion de ces dérives doit être engagée. Elles impactent les frais généraux de nos entreprises de façon importante et gênent la productivité de nos cadres. Elles engendrent en outre des comportements perfectionnistes permettant aux cadres de passer plus de temps sur les dossiers et sur leur écran que sur l’animation de leurs équipes de production, leurs clients, leurs chaines de produits, leurs chantiers et sur tous les aspects liés au marché et à l’environnement de leur métier source de recherche et développement

Il convient impérativement de replacer la fonction production et les hommes et femmes qui y sont affectés au cœur de nos priorités.

A chaque fois que j’aborde ce sujet dans les instances professionnelles ou politiques, je me heurte à une résistance farouche. Les producteurs y sont minoritaires parce qu’ils privilégient leurs présence en entreprises. Ils sont souvent représentés par des services qui se sont fonctionnarisés et qui avec le temps ont eux aussi rejoint le monde mais aussi la culture de la réglementation, de la gestion ou du contrôle au dépens de ceux qu’ils représentent.

Dans l’échelle des valeurs qui préside à l’application des lois et des règlements, il est urgent de replacer les process des hommes et femmes de production à une place prioritaire en supprimant l’inutile au profit de l’autonomie responsable et engagée sachant assumer ses responsabilité sans couverture en papier .